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"Cela peut paraître extrêmement positif mais les 10% qui manquent, c'est notre marge", résume M. Martins. Malgré la reprise, encore une année difficile pour la tour Eiffel. Et si le déficit pour 2021 a été plus faible que prévu grâce à "une bonne fin d'année" - 43 millions au lieu de 70, après 52 millions en 2020 -, la Sete "devrait encore avoir une année difficile" financièrement en 2022. Après une première recapitalisation de 60 millions d'euros en 2021, "cette nouvelle situation déficitaire nécessitera très probablement une nouvelle recapitalisation" par les actionnaires, la Ville de Paris (99%) et la Métropole du Grand Paris (1%), "dont le montant reste à déterminer", indique M. Martins, qui espère toujours une aide spécifique de l'Etat. D'autant que le monument est toujours aux prises avec sa 20e campagne de peinture, qui vise à lui redonner sa couleur "jaune-brun" d'origine en vue des Jeux olympiques de 2024. De 50 millions d'euros au départ, le coût a grimpé à 92 millions, indique son dirigeant qui garde l'objectif de terminer l'opération "si possible avant les Jeux".
Lors d'une opération de police aux abords de la tour Eiffel, le 26 avril 2022 ( Thomas COEX / AFP/Archives) Le lendemain, une importante opération de police venait chasser pickpockets, vendeurs à la sauvette ou joueurs de bonneteau, principaux actes de délinquance sur le site. "Le problème est réel, tant pour nos visiteurs que pour nos collaborateurs", reconnaît M. Martins qui réclame une présence policière "permanente". Dernière polémique: la marche arrière de la mairie, devant la mobilisation des défenseurs de l'environnement, sur l'abattage prévu d'une vingtaine d'arbres, dont certains centenaires, au pied de la tour afin de construire consignes à bagages et locaux pour les employés. Malgré la reprise, "encore une année difficile" pour la tour Eiffel. L'engagement de ne plus les abattre "nous oblige à revoir le projet", concède M. Martins pour qui la Sete "a des besoins vitaux d'héberger (ses) équipes" provisoirement installées dans des modules. Quant aux bagageries, "souhaitables" mais pas "nécessaires", "on n'en a pas eu pendant 133 ans, on va peut-être survivre quelques années de plus. "
NBA – Les protagonistes de ce Game 4 ont dû patienter un bon quart d'heure avant de reprendre le jeu après la pause en raison d'une fuite au niveau du toit de l'American Airlines Center. « Je vais demander à Dirk. Dirk a plus de souvenirs dans cette salle, il saura », en sourit Luka Doncic, interrogé après la rencontre sur sa capacité à jouer les mécanos. Et à s'occuper de cette fuite qui a perturbé la reprise des débats, à la mi-temps de ce Game 4. Les « Splash Brothers » ont en effet essayé de ne pas se mouiller lorsque de l'eau s'est infiltrée par le toit de l'American Airlines Center, tombant à proximité du banc des Warriors et retardant de 16 minutes la reprise du jeu. Une séquence peu appréciée par Luka Doncic qui dit avoir dû refaire son échauffement après être retourné au vestiaire pour jouer… au rami. « Vous connaissez le rami? Reprise 1 pour 1 mot. La dernière fois qu'on a connu ça, ça a duré 45 minutes. Je pensais que ça allait être plus que ça. » Il fait ici référence au match de février dernier, face aux Sixers, qui avait été interrompu parce que l'arceau n'était pas bien fixé et donc pas droit.