> > > > >.. tu appelles le coffre de ta voiture 'la malle'! > > > > >.. tu sais ce que c'est les petits dejeunée du 'ROUERGAT' > > > > >.. pour toi, un sous c'est UN SOUS!!! > > > > >.. tu sais qu'on 'monte' à Rodez et qu'on 'descend' vers Millau > > > >.. tu sais aussi que si tu montes à Paris... 1 cafetier sur 2 connait surement Mémé ou Tonton du Nord Aveyron, > > > > > alors que tu ne l'as jamais vu! > > > > >... quand tu sais que la meilleure discothèque au monde s'appelle 'le Rétro' parce qu'on y danse la gigue > > > > >... quand tu te mets à chanter 'nana nana na nanana na' dès qu'on te dit 'brise pied' > > > > >... quand à chaque fois que tu parles quelque part en France, on t'imite avec l'accent marseillais et que tu expliques que ça n'a rien à voir! > > > > >... quand ta grand mère roule les 'r' mieux que personne quand elle parle du 'Loquefort', de 'Lodez'... de l''Aveylon' > > > > >... quand on te demande à chaque fois: 'c'est quoi les habitants de Rodez? les rodéziens? '
C'est en voyant les photos publiés sur le groupe Facebook « Tu sais que tu viens d'Espalion quand … » que j'ai enfin compris. Si les photographies font apparaître les mêmes tonalités, c'est que les personnes qui les prennent utilisent les mêmes outils, les mêmes logiciels et les mêmes effets. Hier soir, en discutant avec Werner, il m'a dit qu'il utilisait Adobe LightRoom pour mettre une « ambiance » à ses photos. Du coup, j'ai creusé et j'ai trouvé que ce logiciel disposait de « presets «, des sortes de filtres à la manière de ces bougies parfumées ou de ces plaquettes accrochées aux rétroviseurs des voitures qui puent le caramel et la vanille. Ces « presets » ressemblent étrangement aux filtres Cokin que nous mettions sur les objectifs de nos vieux appareils Reflex. Il ne vous reste plus qu'à vous munir d'un appareil photo avec un grand angle, à très grande ouverture et le tour est joué. Il y a quelque chose qui sonne désespérément faux dans cette photo.
> > > > >.. tu te souviens t'être déjà disputé avec un cantalien parce qu'il osait affirmer que la truffade était meilleure > > > > > que l'aligot. > > > > >.., au fond, tu adores la truffade, mais que tu ne l'avoueras jamais. > > > > >.. tu penses avec regret au Baobab. > > > > >.. tu sais comment sortir indemne de la place d'Armes à Rodez avec ta voiture, malgré les pavés et l'absence > > > > > de marquage au sol. > > > > >.. tu te demandes pourquoi l'Epi du Rouergue n'a pas rebaptisé le Jalousé, alors que tout le monde demande > > > > > du 'Jalousépatrocui'. > > > > >.. tu sais qu'être chauvin n'est pas un défaut. > > > > >.. tes grands-parents ou tes parents vont à 'Mammouth' et que tu comprends de quoi ils parlent. > > > > >.. tu as vécu quelques années ailleurs et que tu sais que rien ne vaut la vie en Aveyron > > > > >.. tu parles à un inconnu aveyronnais et qu'au bout de trois minutes vous vous découvrez au moins dix > > > > > connaissances en commun. > > > > >.. tu te demandes pourquoi l'autoroute n'arrive toujours pas jusqu'à Rodez, mais que tu es bien content de ça, > > > > > en fait.
Le pont Valentré est en effet magnifique, cet espère de panneau rouge m'a embêtée, tant pis St Cirq la Popie, photo à venir, ainsi que Conques et Rocamadour. Ici aussi les vacances sont finies. Bises ensoleillé fraîches "espèce" de panneau Merci pour cette bien jolie balade, un département qui vaut la visite, et un petit bond dans notre passé! Bon premier mai Amitié Merci Pierre, bonne journée aussi, amicalement. Tes photos sont belles mais un peu de texte aurait fait plaisir.
Mais elle n'a pas réussi à mettre le feu… Après ces aveux, on a placé Élizabeth sous haute surveillance, à l'hôpital, d'abord, puis à la prison. Mais, le 2 juillet dernier, à Seysses, profitant de l'absence d'une codétenue, Élizabeth s'est pendue. Elle ne dira jamais plus rien de cette terrible haine. Repères Mercredi 30 janvier 2013: Élizabeth rentre de Paris où elle est hôtesse de l'air pour passer quelques jours dans la maison familiale d'Espalion dans l'Aveyron. Elle donne quelques coups de fils qui inquiètent ses amis. Samedi 2 février 2013: Terrible huis clos dans la maison familiale. Élizabeth tend un piège à son père et l'assassine. Elle tente de mettre le feu à la maison et disparaît. Mercredi 13 février: Élizabeth est retrouvée très affaiblie, mais encore vivante, allongée dans la neige dans le bois qui longe la propriété familiale. Elle a les pieds gelés, on est à deux doigts de l'amputer. Elle avoue très vite avoir tué son père. Vendredi 15 février 2013: Après avoir été mise en examen, Élizabeth est placée dans l'unité pénitentiaire de l'hôpital Rangueil à Toulouse.