Au cours du dernier siècle, plusieurs électrodes ont été développées pour le soudage sous-marin. Bien que les électrodes sous-eaux existantes sont des électrodes standards simplement modifiées ou revêtues. Maiintenant nous avonx développé une nouvelle électrode qui n'est base pas sur une composition (sèche) standard. Les électrodes bien connues comme Hydroweld, Nautica, Broco, Barracuda etc. Soudure sous marine le pen. sont basées sur un mélange de SiO 2, TiO 2, MnO, CaO, Al 2 O 3, FeO, des melanges également utilisé avec des électrodes terestres standards. AquaForce LC est la première électrode basique à base de " sable hydrophobe " pour offrir une résistance maximale contre l'humidité qui penètre dans l'enrobage hautement hygroscopique. La haute basicité aide à réduire la teneur en oxygène dans le métal déposé et améliore la ductilité et la résistance. La cible finale pour obtenir de meilleures soudures (plus fortes) dans des conditions sous l'eau (sous-marines) exige également une teneur en carbone faible en tenant compte de la vitesse de refroidissement plus élevée (T8 / 5) lors du soudage sous eau.
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pressions, mais tous souffrent à mesure que la pression augmente. Le soudage à l'arc sous gaz au tungstène est le plus couramment utilisé. Méthode de soudage sous l'eau humide. La dégradation est associée à des changements physiques du comportement de l'arc à mesure que le régime d'écoulement du gaz autour de l'arc change et que les racines de l'arc se contractent et deviennent plus mobiles. Il convient de noter une augmentation spectaculaire de la tension de l' arc qui est associée à l'augmentation de la pression. Dans l'ensemble, il en résulte une dégradation de la capacité et de l'efficacité à mesure que la pression augmente. Des techniques de contrôle spéciales ont été appliquées qui ont permis de souder jusqu'à une profondeur d'eau simulée de 2 500 m (8 200 pi) en laboratoire, mais le soudage hyperbare à sec a jusqu'à présent été limité sur le plan opérationnel à moins de 400 m (1 300 pi) de profondeur d'eau par la capacité physiologique de plongeurs pour faire fonctionner l'équipement de soudage à des pressions élevées et des considérations pratiques concernant la construction d'une chambre de pression/soudage automatisée en profondeur.