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- Cet événement n'est plus disponible à la réservation dans cette salle - Si infâmes que soient les canailles, ils ne le sont jamais autant que les mauvaises gens. Une pièce érotico-politico-policière. Nous sommes dans les années 1970. Célestine, ancienne femme de chambre, vient de publier son journal. C'est lors d'une rencontre avec ses lecteurs qu'elle dévoile avec humour et franchise les petits et grands travers des patrons qu'elle a servis, mais aussi d'encombrants secrets et de fracassantes révélations. Philippe Person s'empare de ce texte et, comme il l'a fait dans ses précédents spectacles avec ce ton décalé qui le caractérise, nous fait découvrir un Journal d'une femme de chambre inédit et sulfureux. 14 mars 2022 Fin du Pass Vaccinal Quelques critiques de spectateurs: Note des internautes: 8/10 4 avec 12 critiques cuba Inscrite Il y a 17 ans 92 critiques 1 -La femme 8/10 Nous avons apprécié cette pièce un peu spéciale reposant sur deux comédiens aux multiples facettes dans une atmosphère opaque.

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Monologue dramatique de Michel Monnereau d'après l'oeuvre éponyme de Octave Mirbeau interprété par Catherine Artigala dans une mise en scène de Jean-Pierre Hané. Depuis sa publication en 1900, " Le Journal d'une femme de chambre " d' Octave Mirbeau n'a cessé d'être adapté au cinéma et au théâtre. Ce monologue d'une "bonne" qui raconte sa condition ancillaire et comment elle va la quitter est propice à la théâtralisation. On a vu récemment la version qu'en a tirée Patricia Piazza-Georget et qu'on avait qualifiée de "gore". Celle de Michel Monnereau suit plus fidèlement la trame du roman et cherche à l'élaguer pour mettre en valeur sa comédienne. Et sur ce point, l'objectif est atteint: Catherine Artigala est Céleste. De son arrivée, valises en main, jusqu'à son départ où la bonne se fait à son tour maîtresse critique des femmes de chambre, elle raconte, elle se raconte. C'est tout un pan de l'histoire sociale française des siècles passées qui s'ouvre devant le spectateur. Il y lira ce mouvement irrémédiable vers les villes du petit peuple et sa soumission à la bourgeoisie régnante sous la troisième république.

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Célestine est parfaite et Joseph terriblement attirant et inquiétant. Merci aux deux artistes # écrit le 04/10/15, a vu cet évènement avec -Le choix des libraires..... 10/10 Souvenez vous, la rentrée littéraire des années 70 et son incontournable écrivaine vedette CELESTINE, qui venait de publier chez XXXXXX sa biographie intitulée " Le journal d'une femme de chambre " librement inspirée d'un certain Octave Mirbeau. En exclusivité sur la scène du Lucernaire Florence Le Corre-Person viendra présenter avec la complicité de Philippe Person les coulisses de ce métier bien méconnu de femme de chambre. Venez vite et soyez les seuls à découvrir les confidences de Célestine. En tout cas une belle rencontre! # écrit le 02/10/15 INTERIM Inscrit Il y a 17 ans 836 critiques 58 -Ginger beauty 10/10 Philippe Person a eu du nez au moment de choisir Célestine, l'héroïne du "Journal d'une femme de chambre". Il a choisit comme toujours sa femme Florence Le Corre-Person. Ils ont souvent joués ensemble au théatre ("Beaucoup de bruit pour rien", "Les Misérables", "Les enfants du Paradis",... ), mais dans cette pièce elle éclate de sa présence avec sa belle chevelure chatains-roux, petite robe noire et tablier blanc.

Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus. 30 articles de presse Critiques Spectateurs Cette nouvelle adaptation du célèbre livre de Mirbeau, est sans aucun doute la plus fidèle au texte d'origine et la plus convaincante. Benoit Jacquot dénonce la servitude et la bourgeoisie rancie du XIXè siècle. Il ajoute une modernité à ce texte pourtant démodé, notamment grâce à des dialogues acérés et à Léa Seydoux, éblouissante en femme de chambre rebelle, insolente et sensuelle. Il dissèque la violence des discriminations... Lire plus La réalisation est d'une grande sobriété. Le scénario s'appuie avec fidélité sur l'œuvre d'Octave Mirbeau, "une chronique ponctuée de réminiscences" déclare le réalisateur. Il nous renvoie habilement à quelques points de notre triste actualité, tout en survolant trop rapidement quelques passages. Le crime dans la forêt, l'entretien avec la tenancière du bordel, par exemple.