Rappelez-vous 9-11-2001.
Déplier tous les niveaux Collection Affiches Organisme responsable de l'accès intellectuel Musée de la Résistance et de la Déportation Pour le Drapeau! Pour la Victoire! Souscrivez à l'Emprunt national, affiche Description physique papier - H. 120 cm; l. 80 cm; H. 126 cm; l. 85 cm (entoilée) Localisation physique Besançon; Musée de la Résistance et de la Déportation Particularité du document Présentation du contenu Marianne brandissant un glaive debout devant le drapeau tricolore et en fond une armée de soldats / émise par la Banque nationale de Crédit avec la mention, les souscriptions sont reçues à Paris et en province, 1917. Autres données descriptives Pour le Drapeau! Pour la Victoire! Les emprunts nationaux de 1916 et 1917 - Histoire analysée en images et œuvres d’art | https://histoire-image.org/. : Souscrivez à l'Emprunt national Banque nationale de Crédit Affiches 311 - France -.... -1939
La seconde affiche, dessinée par Georges Redon (1869-1943) en 1917, joue sur un tout autre registre, plus intimiste et moins ouvertement guerrier. La composition, frappante, oppose personnages vivants, présents, et figures symboliques, reléguées à distance. Souviens toi du drapeau affiche 1987 relatif. La poupée alsacienne, jouet d'enfant et emblème de la France perdue, sourit de face et ouvre les bras, confiante dans la Revanche. De même, le poilu barbu et médaillé qui apparaît dans le cadre au mur regarde le spectateur, déterminé et serein. Au contraire, la mère détourne la tête vers sa fille: son attitude exprime à la fois la vulnérabilité et le désir de protection. Le slogan enfin – « pour que vos enfants ne connaissent plus les horreurs de la guerre, souscrivez à l'emprunt national Société Générale » –, teinté des couleurs nationales, vient conclure cette image par un thème patriotique. Du patriotisme guerrier à la dénonciation des « horreurs de la guerre » La première affiche annonce l'emprunt de la Défense nationale lancé en octobre 1916, alors que la bataille de Verdun et l'offensive de la Somme, meurtrières, s'achèvent.
Dans la salle Deroudilhe du château de Fargues, les murs portent la parole des Français d'Algérie mais aussi celle des harkis et racontent l'exode. Les témoignages de quelques-uns qui firent partie des milliers de personnes fuyant le pays de mars à septembre 1962, se lisent sur 17 panneaux, aux côtés des coupures de presse de l'époque et de photos. « Donner une vision plus authentique, grâce à la parole des gens » Ce retour sur une période aujourd'hui encore douloureuse pour une grande partie des rapatriés d'Algérie, est possible grâce au travail du Centre de documentation...