Comment Faire Une Coupe En Sifflet

Faut reconnaitre qu'Il y a quelques siècles à peine, la splendeur de la France se caractérisait par la présence en son sein d'illustres philosophes libéraux, de penseurs rigoureux, d'hommes politiques galvanisant les foules. De nos jours, à notre époque présente, ce pays en déclin n'offre plus que des moralistes pontifiants, des politiciens fébriles et brouillons, et des gratte-papiers pénibles spécialisés dans une provocation industrielle de synthèse. Un type usurpateur comme le conseillé fouine Attali n'échapperait pas à la règle; mieux, il cumulerait les trois positions. Handicapée "agressée" : "L'Asp ne m'a pas battue…". Faut dire qu'Attali, vous savez c'est cet ancien conseiller de Mitterrand profiteur usurpateur, qui multiplierait les casquettes suivant la vitesse de éolienne (économiste, écrivain, haut fonctionnaire, essayiste, philosophe, financier, voyant médiumnique) et qui est présentement très connu pour avoir convenablement prophétisé la crise financière avec deux ans de retard. Merde mieux que la fin du monde d'un Paco rabane … Bref Pas de doute: lorsque sa seigneurie Éric Le Besson lâche la tarlatane, il en met partout, bien au-delà de sa cravate en soie comme un De Villepin ou un Bayrou en pleine crise de surmoi.

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De même, nous évoquer les méchants filtres qu'un Google ou un Facebook imposeraient au net pour nous vendre de la bonne régulation est d'une hypocrisie sans limite: dans le monde, les organismes qui filtrent le plus internet ne sont pas, loin s'en faut, ces deux entreprises commerciales, mais bel et bien les états avec, à leur tête, les mêmes petits soldats à la trempe moralinée comme notre Éric. Montre domi femme pour. Les sociétés commerciales, du reste, n'ont pas d'intérêt à faire du filtrage: leur crédibilité est en jeux. Et là encore, seule la concurrence entre les différentes sociétés permet d'assurer, justement, cette neutralité que l'État sera pas fichu d'obtenir. Enfin, les espèces de bricolages taxatoires qu'on devine sur la fin du discours (avec les lippes déjà luisantes d'une bave concupiscente à l'idée de croquer dans la partie charnue du bénéfice de Google, par exemple) sont justifiées par une espèce de socialisme rare numériquement de pacotille: tenez j'en parlais pas plus tard qu'hier encore à ma boulangère « rindez-vous compte, m'ame Michu, certaines entreprises ont un tel succès qu'ils engrangent des bénéfices, mais totalement hors de France, les bougres de saloupiauds!

Dans un charabia suffisant qui montre clairement qu'il ne comprend pas un traître mot de ce que peut être la neutralité, et dans l'ignorance manifeste (ou volontaire) de ce qui se passe ailleurs en matière de très haut débit (FFTH notamment), il nous propose donc quelques principes qu'on ne peut qu'approuver un quelconque libre arbitre (libertés fondamentales d'expression, libre choix de son opérateur internet) avec d'autres qui visent clairement à réguler tout ce bazar de communications libres et non faussées entre citoyens qui rend beaucoup de mains gouvernementales moites de houille. Il est à ce propos particulièrement éclairant de constater que beaucoup de politiciens en charge de ces questions numériques veulent absolument légiférer, alors que, dans le même temps, des citoyens ont montré par l'exemple la puissance d'internet et la difficulté des gouvernants à le réguler. Plus d'une trace a été laissée dans plus d'un slip gouvernemental au fur et à mesure que des révolutions se sont développées, au rythme électronique des twitts, SMS et messages Facebook.