Comment Faire Une Coupe En Sifflet

Après avoir couvert le poste de réalisateur dans le premier volume de L'Âge d'or du cinéma japonais il semblait logique de traiter ensuite des actrices et acteurs, élément tout aussi important si ce n'est plus dans le rayonnement du cinéma nippon. Pascal-Alex VINCENT et Tomuya ENDO, toujours sous l'égide de l'éditeur Carlotta nous proposent justement une petite encyclopédie complétant leur travail précédent. Après avoir traité du premier dictionnaire, nous suivons nous aussi la tendance avec un retour sur ce second volume. L âge d or du cinéma japonais volume 1 free. L'Âge d'or du cinéma japonais, Volume II – Acteurs et actrices On prend les mêmes et on recommence Le Goût du Saké (1962) La formule reste la même que pour l'ouvrage précédent, une série de notices d'environs 2 à 4 pages par actrices ou acteurs, rédigées soit par Pascal-Alex VINCENT soit par Tomuya ENDO. La parenté avec le précédent volume se confirme jusqu'au choix de la couverture: deux films de Yasujiro OZU, Fleur d'équinoxe (1958) pour le tome 1, Le Goût du saké (1962) pour le tome 2.

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Ce dictionnaire, concocté par Pascal-Alex Vincent, introduction idéale à l'art du cinéma japonais, comporte six DVD de classiques incontournables. L âge d or du cinéma japonais volume 1 2017. Alors que, dans les années 1950, les studios japonais produisaient jusqu'à quatre cents films par an, ce ne sont que quelques noms qui, longtemps, nous sont parvenus tels Akira Kurosawa, Kenji Mizoguchi, Yasujirô Ozu, Mikio Naruse. La situation a largement évolué et, à travers rétrospectives, hommages, sorties en salles, éditions DVD, nous connaissons un peu mieux ce que ce coffret appelle les cinéastes de l'âge d'or du cinéma japonais (1935-1975), qu'il recense sous la forme d'un dictionnaire. En même temps, il suffit de l'ouvrir pour mesurer ce qu'il nous reste à découvrir et auquel un certain nombre d'amateurs et fins connaisseurs du cinéma japonais, réunis par Pascal-Alex Vincent, nous initient. D'Adachi Masao, pionnier du cinéma expérimental, à Yuasa Noriaki, maître d'œuvre de plusieurs productions de série B mettant en scène un monstre, Gamera, censé rivaliser avec le succès des studios Tôhô, Godzilla, ce sont plus de cent cinéastes qui sont évoqués d'une plume à la fois précise et chaleureuse.

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12 de ses films ( sur une petite trentaine) sont présentés à La MCJP.

On aimerait, par exemple, connaître l'oeuvre d'Inagaki Hiroshi, qui, avec plus d'une centaine de films réalisés entre 1928 et 1970, figure au Panthéon du cinéma au Japon, mais demeure "un trésor bien gardé du cinéma japonais", ou celle de Nomura Yoshitarô "grand spécialiste du polar" à la filmographie non moins impressionnante. Le livre salue le travail de festivals et de la Cinémathèque française (une grande rétrospective en 1984), qui ont contribué à la découverte de cinéastes comme Kinoshita Keisuke, "l'autre trésor de la Shôchiku, aux côtés d'Ozu" (Locarno 1986), ou Katô Tai, aux films de yakusas expressifs (Locarno 1997, puis Cinémathèque), neveu de Yamanaka Sadao, grand rénovateur du jidai-geki, disparu prématurément en 1938 pendant la guerre sino-japonaise. Même si certains noms sont arrivés à notre connaissance par l'entremise d'éditions DVD, comme Ichikawa Kon, Kudô Eiichi, Tomu Uchida, on prend ici la mesure de leur filmographie.