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Ne suis-je point encor seul à te trouver belle? J 'ai compté tes trésors, j' atteste ton pouvoir, Et mon intelligence, ô Nature éternelle! T 'a tendu ton premier miroir. En retour je n' obtiens que dédain et qu' offense. Oui, toujours au péril et dans les vains combats! Éperdu sur ton sein, sans recours ni défense, Je m' exaspère et me débats. Ah! si du moins ma force eût égalé ma rage, Je l' aurais déchiré ce sein dur et muet: Se rendant aux assauts de mon ardeur sauvage, Il m' aurait livré son secret. Poeme au bord de la mer du 1. C 'en est fait, je succombe, et quand tu dis: « J ' aspire! » Je te réponds: « Je souffre! » infirme, ensanglanté; Et par tout ce qui naît, par tout ce qui respire, Ce cri terrible est répété. Oui, je souffre! et c'est toi, mère, qui m' extermines, Tantôt frappant mes flancs, tantôt blessant mon cœur; Mon être tout entier, par toutes ses racines, Plonge sans fond dans la douleur. J ' offre sous le soleil un lugubre spectacle. Ne naissant, ne vivant que pour agoniser. L ' abîme s' ouvre ici, là se dresse l' obstacle: Ou m' engloutir, ou me briser!

Poeme Au Bord De La Mer De Cherbourg

Chers membres de la communauté Poetica Mundi, n'oubliez pas: D'aller consulter les publications de la communauté (poèmes, quiz, messages); De télécharger vos nouveaux avantages (livres, activités, poèmes à imprimer, etc. ); Et de m'envoyer vos demandes spéciales. Le Soir au bord de la mer de François-René de CHATEAUBRIAND dans 'Tableaux de la nature' sur UnJourUnPoeme.fr : lectures, commentaires, recueils. Cliquez sur le lien suivant pour vous connecter ou devenir membre. Merci de me soutenir et de me permettre de vous offrir plus de 16 000 poèmes sur ce site sans publicité et de la poésie sur YouTube! Johann

Mais, jusque sous le coup du désastre suprême, Moi, l' homme, je t' accuse à la face des cieux. Créatrice, en plein front reçois donc l' anathème De cet atome audacieux. Sois maudite, ô marâtre! en tes œuvres immenses, Oui, maudite à ta source et dans tes éléments, Pour tous tes abandons, tes oublis, tes démences, Aussi pour tes avortements! Les paysans au bord de la mer - Victor HUGO - Vos poèmes - Poésie française - Tous les poèmes - Tous les poètes. Que la Force en ton sein s' épuise perte à perte! Que la Matière, à bout de nerf et de ressort, Reste sans mouvement, et se refuse, inerte, A te suivre dans ton essor! Qu ' envahissant les cieux, I' Immobilité morne Sous un voile funèbre éteigne tout flambeau, Puisque d'un univers magnifique et sans borne Tu n'as su faire qu'un tombeau! L'Homme à la Nature Poèmes de Louise Ackermann Citations de Louise Ackermann Plus sur ce poème | Commenter le poème | Imprimer le poème | Envoyer à un ami | Voter pour ce poème | 841 votes < 4 5 6 8 9 Les poèmes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z Les poètes Z

Poeme Au Bord De La Mer Du 1

Au bord de la mer par Théophile GAUTIER La lune de ses mains distraites A laissé choir, du haut de l'air, Son grand éventail à paillettes Sur le bleu tapis de la mer. Pour le ravoir elle se penche Et tend son beau bras argenté; Mais l'éventail fuit sa main blanche, Par le flot qui passe emporté. Au gouffre amer pour te le rendre, Lune, j'irais bien me jeter, Si tu voulais du ciel descendre, Au ciel si je pouvais monter! Le soir au bord de la mer, poème de François-René de Chateaubriand - poetica.fr. Recueil Espana Poème posté le 27/12/09 par Rickways Poète Théophile GAUTIER Sa carte de visite Cliquez ici pour accéder à la carte de visite de l'artiste (Sa présentation et l'ensemble des ses créations)

Merci pour toutes ces émotions..... Amitié pure et p'tite coco 04/07/2005 18:27 Dafo tu me rappel ma ville grand frere!!! la fete foraine... tout! grosses bises mon frangin!!! Da' Tu nous invite à la fete foraine? Noemie

Poème Au Bord De La Mer

L'esquif puni! C'est la voile scélérate! C'est le sinistre pirate De l'infini! Il était hier au pôle Et le voici! Tombe et geôle, Il court sans fin. Judas songe, sans prière, Sur l'avant, et sur l'arrière Rêve Caïn. Il suffirait, pour qu'une île Croulât dans l'onde infertile, Qu'il y passât, Il fuit dans la nuit damnée, La tempête est enchaînée À ce forçat. Il change l'onde en hyène Et que veut-on que devienne Le matelot, Quand, brisant la lame en poudre, L'enfer vomit dans la foudre Ce noir brûlot? La lugubre goélette Jette à travers son squelette Un blanc rayon; La lame devient hagarde, L'abîme effaré regarde La vision. Les rocs qui gardent la terre Disent: Va-t'en, solitaire, Démon! va-t'en! L'homme entend de sa chaumière Aboyer les chiens de pierre Après Satan. Poeme au bord de la mer de cherbourg. Et les femmes sur la grève Se parlent du vaisseau rêve En frémissant; Il est plein de clameurs vagues; Il traîne avec lui des vagues Pleines de sang. IV Et l'on se conte à voix basse Que le noir vaisseau qui passe Est en granit, Et qu'à son bord rien ne bouge; Les agrès sont en fer rouge, Le mât hennit.

I Les pauvres gens de la côte, L'hiver, quand la mer est haute Et qu'il fait nuit, Viennent où finit la terre Voir les flots pleins de mystère Et pleins de bruit. Ils sondent la mer sans bornes; Ils pensent aux écueils mornes Et triomphants; L'orpheline pâle et seule Crie: ô mon père! et l'aïeule Dit - mes enfants! La mère écoute et se penche; La veuve à la coiffe blanche Pleure et s'en va. Ces coeurs qu'épouvante l'onde Tremblent dans ta main profonde, Ô Jéhovah. Où sont-ils tous ceux qu'on aime? Elles ont peur. La nuit blême Cache Vénus; L'océan jette sa brume Dans leur âme et son écume Sur leurs pieds nus. On guette, on doute, on ignore Ce que l'ombre et l'eau sonore Aux durs combats Et les rocs aux trous d'éponges, Pareils aux formes des songes, Disent tout bas. Poème au bord de la mer. L'une frémit, l'autre espère. Le vent semble une vipère. On pense à Dieu Par qui l'esquif vogue ou sombre Et qui change en gouffre d'ombre Le gouffre bleu! II La pluie inonde leurs tresses. Elles mêlent leurs détresses Et leurs espoirs.