Les glandes salivaires sont les glandes qui fabriquent la salive. L'organisme secrète entre 0. 5 et 2 litres de salive quotidiennement via 2 glandes parotides, 2 glandes sous maxillaires, 2 glandes sublinguales et environ 10. 000 glandes salivaires accessoires situées dans toute la bouche, les lèvres, les joues, le palais, … La parotide est une glande qui fabrique de la salive. Echographie sous mandibulaire sa. Elle est située sous et devant le lobule de l'oreille. La salive fabriquée est acheminée dans la bouche via un canal, le canal de Sténon qui s'ouvre en regard de la deuxième molaire des dents du est traversée par un nerf très important, le nerf facial ou nerf VII. Ce nerf innerve tous les muscles de la face et sa lésion provoque une paralysie de la moitié du visage. La glande sous maxillaire est une glande qui fabrique de la salive. Elle est située sous l'angle de la mandibule (os de la mâchoire). La salive fabriquée est acheminée dans la bouche via un canal, qui s'ouvre sous la langue, de part et d'autre de son frein.
Issu de la radiologie conventionnelle puisqu'il utilise les rayons X, il s'agit d'un faisceau tournant autour du patient qui le traverse et est ensuite analysé par différents capteurs. La transmission de l'information est numérisée permettant dans un second temps de reconstruire des images. Au niveau des glandes salivaires, on utilisera la tomodensitométrie pour vérifier plus particulièrement l'extension d'un processus tumoral sur les structures osseuses. En effet, elle ne donne pas d'excellent résultat sur les glandes salivaires et en raison de la proximité des dents et surtout des obturations dentaires entraînant très souvent des artefacts rendant difficile l'interprétation. Explorations radiologiques des glandes salivaires. Cependant, cet examen reste très souvent utilisé, n'ayant que peu de contre indication contrairement à l'IRM. Les reconstructions bi voire tri dimensionnelles sont faciles à exécuter sur les nouveaux matériels et peuvent donner de bons résultats. Grâce au scanner hélicoïdaux, multibarettes la vitesse d'acquisition d'un examen est très nettement réduite, il faut compter 1 minute pour examiner une glande parotide.
Mis à jour le 24/03/2017 à 22h30 Validation médicale: 24 March 2017 Les adénopathies cervicales correspondent à une augmentation de volume des ganglions situés au niveau du cou. Ces "sentinelles du système immunitaire" sont essentielles au bon fonctionnement du corps. L'adénopathie cervicale peut avoir plusieurs origines, le traitement choisi dépendra donc de la cause. Les adénopathies cervicales: qu'est-ce que c'est? Les ganglions sont répartis dans tout l'organisme (cou, aisselle, aine... ) et sont les nœuds du système lymphatique. Ils contiennent des cellules intervenant dans le système immunitaire, celui qui défend l'individu contre l'attaque d'agents extérieurs (agents infectieux... ). Une augmentation de volume des ganglions (ou adénopathies) est fréquemment retrouvée au cours de l'évolution des maladies infectieuses, cancéreuses, auto-immunes (l'organisme fabrique des anticorps qui détruisent des cellules, tissus, ou organes du sujet malade) et métaboliques. Ganglion enflé au cou, sous la mâchoire,.... Il s'agit donc d'un signe commun à de nombreuses maladies.
Le traitement repose sur l'extraction du calcul. En attendant cette intervention, il s'agit de prendre en charge la douleur: antalgiques de palier I ou II, associés à des antispasmodiques (phloroglucinol). En cas d'infection, une antibiothérapie est instaurée (amoxicilline ou macrolides 1 per os et, dans les formes sévères, amoxicilline-acide clavulanique par voie intraveineuse). Les anti-inflammatoires non stéroïdiens et corticoïdes sont contre-indiqués dans ce contexte. En complément, on peut proposer des bains de bouche antiseptiques, des aliments stimulant la production salivaire (jus de citron) et des massages de la glande salivaire concernée. Echographie sous mandibulaire mon. Tout geste invasif doit être réalisé à « froid » (à distance d'un épisode infectieux aigu), et le choix de la technique chirurgicale dépend du diamètre du calcul: – en deçà de 4 mm, la sialendoscopie, peu invasive et conservatrice, est possible seule; 4 – au-delà, il faut associer une lithotripsie extra- ou intra-corporelle; – si le calcul n'est pas accessible ou supérieur à 8 mm, on réalise une « taille » endobuccale.
2 L'examen doit comprendre une palpation bidigitale et bilatérale de la glande sous-maxillaire. 3 Il faut s'assurer de l'absence de complications infectieuses locales: sialodochite (intracanalaire), périsialodochite (abcès péricanalaire); ou de complications infectieuses locorégionales, plus sévères, comme la submandibulite aiguë, voire la cellulite cervicale. L'imagerie permet de confirmer le diagnostic. Les radiographies sans préparation ne sont plus pratiquées. L'orthopantomogramme peut contribuer à éliminer une pathologie non salivaire, notamment dentaire, mais n'est pas suffisant. L'échographie est un bon examen de débrouillage réalisable en cabinet de médecine générale, mais sa rentabilité dépend de l'opérateur et ne permet pas le diagnostic de calculs de moins de 2 mm. Bien qu'irradiante, la tomodensitométrie non injectée est la technique la plus performante. La sialendoscopie sous anesthésie locale ou générale est invasive, mais elle a l'intérêt de pouvoir être diagnostique et thérapeutique en un seul temps.