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Ainsi, à la lumière de ces principes, je peux dire avec certitude que la masturbation est un péché selon la Bible. Je ne crois pas que la masturbation soit agréable à Dieu, qu'elle évite l'apparition d'immoralité, ou qu'elle passe le test de Dieu ayant la propriété sur nos corps.

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Je suis fier de vous, parce que vous cherchez à mener une vie agréable à Dieu. Le combat dont vous avez parlé est le combat de la majorité des jeunes. Vous n'êtes ni un obsédé sexuel, ni un sale individu, ni une personne rejetée de Dieu parce que vous vous masturbez! Comprenez tout d'abord les possible implications de la masturbation, surtout si elle devient un maitre dans notre vie. Elle pourrait imprégner la personne de sentiments d »infériorité et de culpabilité et dans certain cas elle entraîne certaines personnes dans un monde de fantasme, qui dénature la réalité de l'acte sexuel d'amour dans des conditions normales et voulues de Dieu. Quand c'est lié avec la pornographie c'est dangereux même; elle détériore le regard que l'on pose sur le sexe opposé qui devient uniquement un « objet » avec qui on va pouvoir uniquement satisfaire son besoin, mettant de côté l »aspect relationnel de tendresse, l'intimité, le besoin d'être ensemble avant tout et le respect de l »autre tellement important dans ces moments.

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Le péché d'Onan, qui commençait par la haine et finissait par la souillure, était, en outre, sans excuse, et ne pouvait se justifier d'aucune manière, pas même par une prétendue nécessité. Onân déplut ainsi au Seigneur qui le fit mourir prématurément ( Genèse 38:8-10). Dans le Nouveau Testament, trois textes écrits par l'apôtre Paul condamnent la masturbation. « Ne savez-vous pas que ceux qui pratiquent l'injustice n'auront aucune part au royaume de Dieu? Ne vous y trompez pas: il n'y aura point de part dans l'héritage de ce royaume pour les débauchés, les idolâtres, les adultères, les pervers ou les homosexuels, ni pour les voleurs, les avares, pas plus que pour les ivrognes, les calomniateurs ou les malhonnêtes. » ( 1 Corinthiens 6: 9-10 Semeur). Dans ce texte, les Corinthiens sont mis en garde contre les nombreux péchés, dont ils étaient autrefois coupables. Le réquisitoire de Paul, sur ce sujet, est très virulent, si nous considérons qu'il était adressé à des personnes fières de leur sagesse et de leurs connaissances.

Ibn Taymiyya ( Majmû' ul-fatâwâ 34/230) a rapporté à ce sujet les deux avis existant chez les ulémas: – l'avis disant que cela reste quand même un acte interdit mais que l'on n'y aura recours que pour ne pas tomber dans un mal plus grand; cet avis signifie qu'il faudra demander pardon à Dieu. [Il faut veiller cependant à ne pas faire ici non plus de refoulement psychologique. Le meilleur moyen d'éviter un tel refoulement est justement de s'en ouvrir à Dieu et de Lui en parler longuement. Car c'est bien à partir des Paroles de Dieu et de celles de Son Messager que les savants musulmans ont extrait les principes et les règles détaillées du droit musulman. Pourquoi, donc, ne pas en parler à Dieu? C'est Lui qui sait, c'est Lui qui pardonne - Il est Miséricordieux - pour ce qui relève des devoirs qu'on a envers Lui, et non pas les hommes (il n'y a pas de confession à des hommes en islam). ]; – l'avis disant que dans ce cas uniquement cet acte devient permis; cet avis signifie – c'est évident – que l'on n'aura pas fait là quelque chose d'interdit.