Le commentaire sur le rouge et le noir 997 mots | 4 pages Le rouge et le noir est le chef –œuvre de Stendhal qui est l'écrivain réaliste très connu du 19 siècle. Il montre la situation sociale et politique après la révolution de 1830 en racontant l'histoire d'un jeune homme. Dans cette œuvre, l'auteur raconte l'ascension de Julien qui est de modeste origine ayant une grande ambition. D'un fils de charpentier au précepteur des Rênal, puis le clerc au séminaire de Besançon, ensuite le secrétaire du marquis de La Mole, enfin le lieutenant de hussards à Strasbourg…. Le rouge et le noir commentaire 1755 mots | 8 pages Écrit en 1830, " Le Rouge et le Noir " est un roman de Stendhal, écrivain surtout romantique, qui raconte l'évolution sociale de Julien Sorel: un jeune homme pauvre mais cultivé et ambitieux. Ce texte est situé au début du roman alors que Julien vient d'être engagé par M. de Rênal et se présente à la résidence des de Rênal pour remplir sa fonction de précepteur; c'est alors que la rencontre avec Mme de Rênal eut lieu.
Durant cet apprentissage, Julien rencontre différents initiateurs, comme Madame de Rênal, ou encore Mathilde de la Mole, qui vont lui faire découvrir l'amour, mais aussi le hisser dans la haute société. Nous pouvons alors nous demander si les personnages principaux de ce roman, Julien Sorel, Mathilde de la Mole et Madame de Rênal, sont ou non des héros. Nous étudierons de prime abord leurs aspects typiques du héros de roman, puis leurs penchants antihéroïques et enfin ce qui les rend « héroïques » dans d'autres sens du terme. I/Des héros typiques du roman Les caractéristiques typiques du héros. Les trois personnages de ce roman peuvent être considérés comme des modèles sur les plans physiques, moraux et spirituels. En premier lieu, Julien est décrit comme un beau jeune homme, avec des traits « délicats » et de « grands yeux noirs » qui montrent « la réflexion et [le] feu ». Mathilde de la Mole est également décrite comme une belle jeune femme, adulée par de nombreux hommes, comme le Marquis de Croisenois.
Quant à Mme de Rênal, elle meurt trois jours après l'exécution, en embrassant ses enfants Le roman s'inspire d'un fait diver arrivé trois ans avant la parution du roman: un séminariste avait tué son amant, la femme d'un notable de région et pour cela il avait été guillotiné. Le titre attire l'attention sur un dilemme social: pour réussir dans la sociéte il faut choisir entre la carrière militaire (=le rouge), si utile sous l'Empire, et la carrière ecclesiastique (= le noir) sans doute plus rentable à l'époque de la Restauration. Il s'agit d'un réalisme historique et psychologique à la fois, qui se base sur une critique de la société et en même temps sur la psychologie des personnages. Pour garantir l'objectivité, chère aux écrivains réalistes, l'auteur fait agir et parler les personnages et c'est le lecteur qui doit en tirer les conclusions et le style dépouillé et incisif correspond à cette recherche de la vérité. Cependant, Stendhal est toujours présent dans son roman car, parfois, il se laisses échapper un jugement ou quelques intrusions critiques au sujet du comportement ou des attitude des personnages.
On relève ainsi le champ lexical du danger qui crée une atmosphère angoissante: « mortelle », « angoisse », « tous les dangers » et « violence » aux lignes 30 et 33. Ce champ lexical est redoublé par celui du devoir: « obligeât », « était obligé » et « le devoir » aux lignes 32, 34 et 37. Ainsi, pour le jeune héros, la séduction est une affaire d'amour-propre et s'assimile à une conquête militaire. La formule du souhait « que de fois ne désira-t-il pas voir survenir à madame de Rénal quelque affaire qui l'obligeât de rentrer à la maison et de quitter de jardin » aux lignes 31-32 et 33, suggère l'agitation intérieure de Julien. Cette extrême tension est perceptible dans la voix des personnages « profondément altérée » à la ligne 35 pour julien et « tremblante » pour madame de Rénal à la ligne 36. La scène est donc particulièrement angoissante. Le registre épique se poursuit par la mention du combat intérieur de Julien aux lignes 37-38 et 39: « l'affreux combat que le devoir livrait à la timidité était trop pénible, pour qu'il fût en état de rien observer hors lui-même ».
Ce terme apparaît ici comme nettement ironique. L'héroïsme de Stendhal qui tombe évanoui est sujet à caution. Stendhal se plaît souvent à utiliser cette désignation par antiphrase. Cependant, l'adjectif possessif « notre », quasiment affectueux, souligne la sympathie que l'auteur éprouve pour ce jeune homme impressionnable. Le thème essentiel de l'hypocrisie apparaît avec l'expression:... Uniquement disponible sur