À chaque élève a été distribué un petit carnet de bord réalisé par Mathias Coustans en collaboration avec son entreprise Snats Management. Dans ce carnet, tous les systèmes de points par situations ont été notifiés, associés à des cartes de scores. Il a été remis à la fin de la journée au recording afin d'établir un classement en amont de la remise des prix. Un kif absolu À la suite de cette journée d'animation, tous les jeunes sont repartis avec des lots et une banane jusqu'aux oreilles pour le plus grand bonheur des parents et des pros présents lors de cette fête de noël. Une expérience qui restera gravée dans la mémoire des enfants mais aussi des élèves moniteurs: « On a passé une semaine de préparation assez intense, tout le monde a mis la main à la pâte et l'essentiel a été fait. Les enfants ont kiffé comme nous tous » nous révèle Pierre Joyau. Et quoi de mieux qu'une bonne bière à la fin d'une journée amplement réussie pour se féliciter d'avoir rendu des gamins heureux.
Mais cela je ne sais pas faire. Daniel Premier test. Mais le blog étant une fonctionnalité transversale tout le monde le voit et peut y écrire des commentaires. J'utilise si peu qu'il faudrait que je m'y plonge un peu. Cela vaudrait la peine car la fonctionnalité CARNET DE BORD me semble utile. Merci Daniel Je suis en pleine recherche moi aussi, ça avance petit à petit.
L'option cinéma et audiovisuel est accessible à tous: esprit d'initiative, curiosité culturelle, créativité et assiduité sont toutefois des qualités essentielles pour aborder cette discipline. L'apport culturel théorique et pratique de cette option permet de tisser des liens avec des disciplines aussi diverses que la littérature, les langues vivantes, la physique ou même la philosophie. Cet enseignement pourra aussi contribuer à l'élaboration du projet professionnel et personnel de l'élève. Nous serons heureux de vous compter parmi nous. A bientôt.
Mais ça valait le coup. Et croyez-moi, avoir une table qui prend pas toute la place mais qui est suffisamment grande pour travailler, dans 20m2, j'en suis pas peu fière. La vache, je t'en ai fait une tartine aujourd'hui! (Si t'as lu jusqu'ici, vas donc grignoter un carré de chocolat, tu l'as bien mérité). (Ou un morceau de comté, ça marche encore mieux). (Le fromage, c'est la vie). Non, mais faut avouer que cette histoire de table était parfaitement indispensable aussi, ne soyons pas chiches sur les détails.
Pour en bénéficier, il faut d'abord activer, en accord avec son salarié, le service Cesu + (à partir du tableau de bord). Rappelons que ce crédit d'impôt, que même les ménages non imposés peuvent toucher, couvre 50% des salaires versés, dans une limite de 12 000 euros par an.
D'où venaient-ils? Parmi eux, Jeanne Sylvain, 21 ans maintenant, Guillaume et Erwan Planchenault, 20 ans tous les deux. Les trois étaient ensemble à l'école publique de Châtillon-en-Vendelais, au nord de Vitré. Une décennie s'est écoulée, mais les souvenirs restent. « J'en parle et j'en parlerai encore à mes proches, assure Jeanne, les yeux brillants. Même aujourd'hui, je suis encore marquée par le tournage et les rencontres. » « Je n'aurais jamais pensé vivre ça » En amont du tournage, quelques mois avant, les élèves de Châtillon-en-Vendelais (réunissaient aussi des enfants de Taillis et Saint-Christophe-des-Bois), se sont préparés à vivre au rythme des caméras de Nicolas Ribowski, le réalisateur. « C'était vraiment spécial, se souvient Guillaume Planchenault, aujourd'hui plaquiste à Vitré. On avait préparé les questions en amont. Je n'aurais jamais pensé vivre ça. » Guillaume et Erwan Planchenault ont bien grandi depuis le tournage de juin 2012. Ils se souviendront « à vie » de ces moments d'échanges, de rencontres avec des gens « qui ont vécu la guerre.