Aucun mot grossier ne doit être proféré par la bouche de l'époux à son adresse, de même que l'épouse ne doit pas faire de scènes hystériques au mari qui, lui, ne doit pas fournir de prétextes à cela. Il est évident que des mécontentements mutuels apparaissent inévitablement. Sans eux rien n'évoluerait, mais il faut les couvrir de l'amour réciproque et de la tendresse; pour cela des efforts sont indispensables, il faut être prêt au sacrifice, prêt à s'oublier soi-même. La tendresse des rapports entre le père et la mère marque de son empreinte le psychisme de l'enfant. Sanction par amour Les parents doivent être d'accord sur l'éducation des enfants. Etre des pères et des mères spirituels – Eglise Evangélique de Villard. Il est inadmissible que si l'un permet une chose, l'autre l'interdise, que si l'un punit, l'autre s'indigne et console à voix haute. Aucune remarque au conjoint, au moment de la punition même injuste, n'est possible en présence des enfants; plus tard, se retrouvant seuls, on peut et il convient de discuter de l'incartade de l'enfant et de la forme adéquate de la punition.
(avec toutes les déviances plus ou moins déclarées ouvertement, mais qu'on retrouve absolument dans tous les pays, au moins au niveau inconscient! ) La femme, à la fois placée sur un piédestal (Marie), et en même temps l'esclave de tout le monde: puisque tout le monde attend après elle. Cela fait des familles où les enfants sont frustrés et émotionnellement instables (puisque, forcément, la mère humaine ne va pas aller alimenter leur premier chakra et s'occuper d'eux à chaque instant). Sans compter quand la mère 'craque' (donc, entre dans la colère) ce qui provoque ensuite des peurs inconscientes fortes, et un blocage du bas plus ou moins important. En tout cas ce dysfonctionnement une fois remonté au deuxième chakra ajoute un problème plus ou moins déclaré. Pere et mere spirituelle au coeur du. C'est que si la mère 'humaine' est limitée, on ne peut la partager, il va donc être difficile de construire correctement sa relation à l'autre en sachant que le premier autre qu'on côtoie (frère et soeur) est concurrent direct d'une chose qui est limitée (l'attention de la mère).