En 2017, le magazine Fortune l'a d'ailleurs classé comme étant l'une des 50 personnes les plus influentes du monde. Le meilleur livre de Chimamanda Ngozi Adichie: L'autre moitié du Soleil Impossible de mieux résumer ce livre que ne le fait la quatrième de couverture, aux éditions Gallimard: « Lagos, début des années soixante. Appel à candidature – LIRE A BANGUI. L'avenir paraît sourire aux sœurs jumelles: la ravissante Olanna est amoureuse d'Odenigbo, intellectuel engagé et idéaliste; quant à Kainene, sarcastique et secrète, elle noue une liaison avec Richard, journaliste britannique fasciné par la culture locale. Le tout sous le regard intrigué d'Ugwu, treize ans, qui a quitté son village dans la brousse et qui découvre la vie en devenant le boy d'Odenigbo. Quelques années plus tard, le Biafra se proclame indépendant du Nigeria. Un demi-soleil jaune, cousu sur la manche des soldats, s'étalant sur les drapeaux: c'est le symbole du pays et de l'avenir. Mais une longue guerre va éclater, qui fera plus d'un million de victimes.
20 août 2020 Comédiens Centrafricains BANGUIWOOD TV. OSWALD, collection « Janus », 42 pages, 1960 Paris, P. J. Cette émission est archivée. Livres: Vient de paraître: "Centr... Ressortissant de l'Archidiocèse de Bangui, il fit le Petit Séminaire Saint Marcel de Sibut, le … Tous sont traités avec un égal soin.
Chimamanda Ngozi Adichie Née au Nigéria en 1977, Chimamanda Ngozi Adichie fait partie d'une nouvelle génération d'écrivaines africaines qui envahit le monde littéraire. Les œuvres d'Adichie sont principalement inspirées par des personnages, de son Nigéria natal et des événements sociaux et politiques. CLIJEC :: Quelle littérature pour la Centrafrique ?. Son roman Purple Hibiscus (2003) est un bildungsroman, décrivant l'expérience de la vie de Kambili et de sa famille lors d'un coup d'État militaire, tandis que son dernier ouvrage, Americanah (2013), illustre de manière éclairante la vie d'immigrants nigérians et leurs relations raciales en Amérique et dans le monde occidental.. Les œuvres d'Adichie ont suscité de nombreux éloges et ont été nominées pour de nombreux prix, notamment le prix Orange et le prix Booker. Ayi Kwei Armah Les romans d'Ayi Kwei Armah sont connus pour leurs représentations intenses et puissantes de dévastation politique et de frustration sociale dans le Ghana natal d'Armah. Ses travaux ont été fortement influencés par des philosophes existentiels français, tels que Jean Paul Sartre et Albert Camus, et portent les thèmes de désespoir, de désillusion et d'irrationalité.
Dans le cas de ce peuple, il importe de redéfinir l'écrivain. Et nous pouvons le dire, tout ce qui peut porter cette voix dont nous parlons, est essentiel. L'écrivain ici, se voudra un homme public, sans ambitions politiques, mais qui par quelque procédés artistiques pourra reconstituer ou aider à reconstituer la mémoire de ces enfants qui portent l'horreur aux yeux, et substituer cette peur et cette haine par le respect et l'amour de l'autre. Car, avant le livre, l'édition, il y a la parole…Et c'est d'abord par la parole que la Centrafrique sera sauvée.
Il est de la responsabilité des écrivains d'écrire, non pas d'abord les vérités ou les mensonges sur la guerre, mais une littérature qui rassemble. En effet, il faudra apprendre aux artistes à bâtir l'union centrafricaine, à cultiver la Paix entre frères, mais aussi, mais aussi vraiment, à s'autonomiser! A imposer leur voix par la seule voie qui se doit, celle des urnes. La Centrafrique a toujours a un grand malaise à digérer les dictatures des tous ces hommes forts qui ont pris le pouvoir par les armes, et ont contribué à monter la population les uns contre les autres. Ces gens constituent les premiers responsables de la crise qui a secoué le pays, et le peuple, en constitue l'autre part. Il sera essentiel de dire aux Centrafricains que l'être humain est la première guerre à gagner et qu'au de-là de l'humain, tout le reste n'a jamais été qu'un moyen que les uns prennent pour s'enrichir sur les cadavres. Il est vrai, qu'en Centrafrique, le livre se porte mal. Mais ce n'est pas au Cameroun qu'on dira vraiment l'inverse.